Jean-Mimi et autres brèves footballistiques...
Vu sur http://www.football.fr/footballfr/cmc/ligue-1/200838/larque-des-brumes_53655.html
Cet article qui souligne un sentiment partagé par de nombreux téléspectateurs, l'exaspération devant les commentaire de Monsieur Larqué, qui a toujours un avis sur tout sans avoir rien prouvé dans la vie!
Larqué des brumes
Jean-Michel Larqué (à droite) est l'un des commentateurs vedettes de TF1. (Nice Matin)
Un joli titre en hommage au grand Jean Gabin pour évoquer le cas très spécial d'une ancienne idole de l'AS Saint-Etienne, j'ai nommé Jean-Michel Larqué. Le donneur de leçon cathodique numéro 1, aussi insupportable que la publicité Foncia (lalalalalala, Foncia, Foncia, Foncia, lalalalalala)... Immortel consultant de TF1, il a survécu à Thierry Rolland et à Thierry Gilardi pour constituer un tandem de choc (ou pas) avec l'homme aux trois prénoms, Christian Jeanpierre.
Une petite pipe et ça repart
Ah Jean-Michel Larqué, ses fameux buts sur coup franc en Coupe d'Europe, notamment en 1976, ont bercé mes premières siestes. Pour beaucoup de mes amis supporters, il restera l'un des meilleurs meneurs de jeu que n'a jamais connu l'AS Saint-Etienne, l'artisan des titres de champion de France conquis dans les années 70 (7, au total, pour le joueur, un record aujourd'hui égalé par quelques Gones...). L'histoire n'a guère retenu son passage au PSG comme entraîneur-joueur, à 29 ans seulement ou sa demi-saison comme directeur sportif de l'ASSE, après avoir eu la peau d'André Laurent, pourtant président des Verts, avec un certain mérite à défaut de résultats probants, de 1983 à 1993. Donneur de leçon émérite, Larqué a aujourd'hui les boules envers un ancien de la Maison Verte comme lui, un certain Laurent Roussey, entraîneur de l'ASSE depuis deux saisons. Victime d'un dommage collatéral, Luc Sonor a été insulté de "pipe" sur l'antenne de RMC. Larqué, bien sûr, ne s'est absolument pas excusé, l'homme se croyant au-dessus de tout.
Le radotage de la méduse
A l'antenne de TF1, Jean-Mimi use de formules facilement assimilables pour cerveaux affaiblis par les tunnels de pub. Cela donne des réflexions aussi débiles qu'"il reçoit le ballon de la gauche et le donne vers la droite", quand le gardien doit dégager un ballon chaud, "Je n'aime pas ça", sur chaque montée de balle adverse, quand il ne s'autoglorifie pas lors d'une discussion tactico-tactique avec Arsène Wenger... Exemple face à la Serbie... "Arsène, qui commande la passe, le passeur ou l'attaquant ?"... Wenger, docte et surtout manager d'Arsenal lui répond: "Le passeur quand même, c'est lui qui choisit, les attaquants proposent". Et là Larqué d'asséner: "Moi je crois que c'est l'intervalle qui commande, c'est l'espace" (sic). Le pire, peut-être, ce sont ses têtes de Turc de Christian Karembeu à Karim Ziani hier... Détestable, c'est le mot...
Premier League - Roy Keane pas fan d'Abba
Eurosport | sam 20 sept, 13:53
Dans la dernière édition du Times, l'entraîneur irlandais de Sunderland explique que son premier challenge en tant qu'entraîneur du club anglais avait été d'éradiquer Abba du vestiaire de ses joueurs.
En août 2006, lorsqu'il est arrivé à Sunderland, Keane avait en effet découvert, stupéfait, que le vestiaire tonnait à chaque avant-match du tube "Dancing Queen" d'Abba qu'il qualifie de "merde" et de chanson de "looser". Anecdotique mais révélateur du caractère ombrageux et autoritaire d'un coach qui a tout de même emmené son équipe en Premier League.
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Mis à part tout cela, saluons au passage le bon début de saison du PSG, qui dégage cette année une belle sérennité, pour les avoir vu jouer à Caen (Caen-PSG, 0-1). De bonne augure, avec un recrutement qui tient enfin la route (ça faisant longtemps). Mention spéciale pour Stéphane Séssegnon.
De la même manière, le Stade Malherbe de Caen, dans la continuité de la saison dernière, semble bien parti pour s'installer plus durablement en Ligue 1, Steve Savidan n'y sera sûrement pas pour rien.
Enfin, une mention spéciale pour l'OL, et la belle réaction affichée Mercredi dernier durant Lyon-Fiorentina. Menés 0-2 à la mi-temps, les Lyonnais nous ont offert une seconde période spectaculaire pour égaliser à deux partout. Si au niveau comptable, le point pris par le match nul parait un peu insuffisant, mentalement et psychologiquement ce match pourra servir de point de repère et de référence, le genre de match qui (re)crée une cohésion, apporte une bonne dynamique de groupe, un esprit d'équipe dit autrement.
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